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La Chanson Du Justicier.
Par Bernard De l'Océan
I
Je suis la menace majeure,
Celui qu'on ne rappelle pas.
Je suis moi même et je demeure
Les destinées de vos trépas.
II
Vous! les personnes criminelles
Qui voulez tout déposséder
Je veux détruire vos marelles
Pour vous empêcher de jouer.
III
Les netayahus, les faux juifs
Qui piétinent les religions,
Chaussés de projets agressifs
Souillés d'exterminations,
IV
Les Ben Ladens et les Charognes
Craignez moi si vous le pouvez,
Car je vous chercherai des cognes.
Avec moi vous en trouverez.
V
Quand l'un sévit en Palestine,
Les autres tuent les innocents.
Qui sera premier en vitrine?
A qui vais-je casser les dents?
VI
Peut-être à toi vieux Pinnochet
Pour saccager l'humanité,
Ou toi Gallant pour ton hochet
De mort, de monstruosité?
VII
Vous les Pol Pots, vous les Hitlers,
Vous finirez brutalement
Dans la noirceur de vos hivers
En rendant votre sang méchant.
VIII
Je suis la menace majeure.
Ne riez pas! je vous aurai!
Vous assassinez à mon heure.
A vos heures, je vous tuerai.
IX
Vous! qui tentez de me convaincre
Que mes voisins sont dangereux,
Mon seul désir est de vous vaincre,
De vous coucher comme des gueux.
X
Vous qui jouez la contredanse
De l'infernal ne jouez plus!
Soyez certain que ma vengeance
Aura la force d'un obus.
XI
Avec mon fusil à lunette
Je sais que je vous détruirai
Et vous ferez la pirouette
De mort quand je vous percerai.
XII
Oui Je suis un danger majeur.
J'ai la puissance des savants
Et je ferai votre malheur
Pour protéger les innocents.
XIII
Je suis la menace majeure.
Je suis fatigué des méchants
Persécuteurs et Je demeure
Celui qui brisera ces gens,
XVI
Avant qu' ils tuent mon voisin Juif
Ou mon collègue Musulman.
Je ne peux pas rester passif
Quand on brutalise un passant.
XV
J'ai la patience du tonnerre
Et tôt ou tard je vous perdrai
Quand je vous jetterai par terre
Dans une guerre sans forfait.
XVI
Vous! les Le Pens et Khomeinis
Et vous les sacrés Talibans
Qui endommagez nos pays,
Persécutez tant qu'il est temps!
XVII
Vous! les Sarkos et Politiques
Aux idéologies usées
Qui détruisez nos républiques
Et sévissez sous nos huées,
XVIII
Oh vous les expulseurs d'amants
Vous les sinistres tortionnaires
Qui tyrannisez les enfants
Allez pourrir sur vos calvaires!
XIX
Et vous les flics et les Pasquas
Pour qui tuer est un métier,
Vous! Parasites d'ici bas:
Vous vous ferez emprisonner!
XX
Requins! Vous aurez eu vos heures
A inventer l'insanité
Quand nous les menaces majeures
Nous sauverons l'humanité.
XXI
Quand tous ces fléaux seront morts
Enfin nous pourrons respirer,
Laver le monde de leurs torts
Et je pourrai me reposer;
XXII
Au ciel ou en enfer qu'importe!
j'aurai accompli mes desseins
Et puis j'aurai claqué la porte
Pour enfermer les assassins!
©Copyright 2008
Consultez La Notice De Droit D'auteur Avant De Reproduire!
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